“Étrangement, les quelques chroniques que j’ai lu sur Annika parlent d’électricité, alors que je ne vois dans cette avancée sonore que de la lumière naturelle, dans cet Ep. Lancé en éclaireur d’un prochain disque intitulé “She”, je ne trouve que des empreintes humaines et féminines de ce qui devrait être un son, aussi beau que ce “What else is there” de Royksopp (un des titres phares des discographies humaines faites de câbles)…”